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Record de fréquentation pour la Nuit blanche parisienne

dans la rubrique : Dans l'actualité - Sur le net : Manifs et concerts
par aNaKRoN67 le, 02-10-2005

PARIS (AP) - La 4e Nuit blanche parisienne, qui s'est déroulée jusqu'à tôt dimanche matin, a attiré quelque 1.250.000 visiteurs, selon un comptage effectué par les 600 agents de la Direction de la prévention et de la protection de la Ville de Paris, a déclaré tôt samedi Christophe Girard, adjoint au maire de Paris en charge de la Culture, dans un entretien téléphonique à l'Associated Press.

"Un nouveau succès; les résultats donnés plus tôt sont confirmés", a précisé dimanche peu avant 7h l'adjoint au maire, qui s'est félicité de l'absence d'incident majeur et de l'ambiance "bon enfant" de la manifestation, avec "la présence, nombreuse de familles et de jeunes, parfaitement au fait de l'art contemporain".

Donnant l'exemple, le maire Bertrand Delanoë avait effectué un marathon en début de soirée, depuis l'église St-Jean-de-Montmartre jusqu'au Sacré-Coeur pour écouter quelques notes du concert géant de guitares de Rhys Chatam.

"Le succès de Nuit blanche, est la preuve que l'art contemporain, aussi novateur soit-il, n'est pas réservé à une élite et qu'en aucun cas, il ne s'oppose à la culture populaire", assurait le premier des Parisiens devant la presse au cours de la soirée au côté du directeur artistique de la manifestation, Jean Blaise.

Quant au public, intrigué ou conquis d'avance, il avait, semble-t-il suivi les consignes de l'Hôtel de Ville. Itinéraires téléchargés sur Internet pour les uns, ou plan de Paris annoté et dûment accroché au ruban adhésif sur le guidon d'une bicyclette pour les autres : l'heure n'était pas à l'amateurisme.

L'image et le son, fers de lance de l'art contemporain ont enregistrés de nombreux succès générant les plus longues files d'attentes sur ces sites. A commencer par celle de la mairie du IVe arrondissement où le collectif "Métazone", redéfinissait le principe de la vidéo-surveillance, faisant de chacun tour à tour un voyeur, ou un observé, à son insu. Inquiétant.

Succès plus populaire cette fois pour le coeur des Halles et son jardin, transformé en discothèque brésilienne, les orchestres ambulants se déplaçant parfois jusque dans la rue Saint-Denis voisine. Beaucoup de monde aussi pour "L'éphémère" d'Andreas Oldörp au Crédit municipal et pour la "Transparence blanche" du Centre culturel suédois.

Autre temps, autre lieu, avec thé à la menthe, henné et calligraphie au menu de l'Institut de monde arabe, qui présentait un voyage dans la culture arabo-musulmane en musique, avec notamment un hommage à l'actrice Fayrouz. Le public en transe a dansé tard sur la terrasse au son du chaâbi.

Originale et décalée, la balade proposée par Vincent Leroy dans l'Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, où il avait installé son "Champ mécanique", des herbes géantes en "altuglass", ondulant au moindre souffle de vent et suscitant des cris d'admiration du public, même s'il était vivement recommandé de se taire pour la tranquillité des malades.

Autre succès pour le règne végétal reconstitué, à la Bibliothèque François Mitterrand, transformée en forêt où une vie animale se serait développée, le tout projeté en images sur la tour sud, quand les plus jeunes semblaient s'être donnés rendez-vous à la "Comète Jules Verne", un programme audiovisuel, ponctué d'ateliers d'écriture autour de l'oeuvre du romancier visionnaire.

Gros succès encore pour le parcours "Drôles d'endroits" de l'Est parisien, où le "Standard" de Grégory Chatonsky a surpris et amusé petits et grands. Ses cabines téléphoniques publiques sonnant et dans lesquelles des voix inconnues racontaient leur vie aux passants médusés mais leur permettaient aussi de raconter la leur. L'envers du décor (un vrai standard) se trouvant pour l'occasion installé à la mairie du XIIe.

Drôle aussi, les "golfeurs fous" de Samuel Bianchini où les passants donnaient des ordres par mégaphone à des personnages animés jouant au golf, qui obéissaient en rythme, jusqu'à friser l'hystérie.

Les jeunes filles rêvant de devenir top-model s'en sont données à coeur joie au "Défilé de Belleville" de Maroussia Rebecq, où des stylistes les ont relookées à coup de fripes et fait défiler.

Stars d'un soir encore, mais bien pâles cette fois, celles du cinéaste Nicolas Boone. Il a tourné place St-Marthe "La Nuit blanche des Morts-vivants" et a eu pour cela besoin de figurants qu'il a puisés parmi les passants. Ressuscitant, sortant de tombes imaginaires, titubant, ou tombant à terre, ils sont nombreux à avoir joué le jeu. Mais le chic du chic était sans doute de terminer cette Nuit blanche en se la jouant un tantinet "bobo"" et d'aller piquer une tête piscine de Reuilly, sonorisée en "live" par les mixes d'électro expérimentale du DJ Lillois, Mich Kill My Dog. AP

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