Ronaldo se confie sur l'affaire des travestis

Ronaldo, interpellé la semaine dernière en compagnie de trois travestis brésiliens et accusé par l'un d'eux d'avoir consommé de la cocaïne, a accepté de se confier dans une émission télévisée.

C'est un Ronaldo en pleine déprime et terré chez lui depuis l'affaire qui a reçu une équipe de télévision afin d'essayer de sauver sa réputation, ou ce qu'il en reste. Déjà lâché par l'un de ses sponsors (l'opérateur de téléphonie TIM), largué par sa petite amie étudiante en droit (qui envisageait par ailleurs d'avoir des enfants avec lui) et moqué par tous les médias du monde ou presque, Ronaldo ne va pas fort. Cependant, Il Fenomeno se défend.

"C'était complètement stupide et honteux de ma part. J'en ai même pleuré. A la suite d'une dispute avec ma petite amie aux alentours de 4 heures du matin, je reconnais être parti à la recherche de trois prostituées. Mais quand je me suis rendu compte qu'il s'agissait de travestis, j'ai tout de suite mis un terme à cette histoire. Or, c'est là que tout a commencé." a affirmé le footballeur carioca dans l'émission "Fantastico", laquelle a bien évidemment battu tous les records d'audience.

"Ce scandale me poursuivra jusqu'à la fin de ma vie." a ajouté lucide Ronaldo. Selon lui, sa grosse erreur a été de ne pas céder au chantage d'un des travestis qui lui a réclamé 30 000 dollars contre son silence. "Au lieu de céder au chantage, j'ai préféré prendre mes responsabilités. Je répète qu'il n'y a eu aucune relation sexuelle entre nous. Je suis hétérosexuel! Je n'ai pas consommé de drogue non plus." a ajouté le brésilien sans l'ombre d'une hésitation.

Malgré toutes ces belles paroles, le pire pourrait être à venir pour Ronaldo puisque selon plusieurs médias, Nike envisagerait de mettre un terme à son contrat de sponsoring avec le footballeur. Si cela venait à arriver, Ronaldo pourrait perdre 60 millions d'euros !

Gageons qu'à la prochaine dispute avec une de ses petites amies, Ronaldo préfèrera aller se manger une pizza accompagnée d'une bière, honorant ainsi son surnom madrilène d'El Gordo (le gros).

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